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Capllonch
Elle a reçu sa maîtrise en Philologie espagnole en 2003 (prix au meilleur dossier académique) et son doctorat en Sciences humaines en 2010 (prix à la meilleure thèse). Sa spécialité est la sémantique du langage poétique (notamment chez des auteurs de la Renaissance et du Baroque, ainsi que du XXe siècle); elle s’intéresse également à la traduction de la poésie française du XVIe siècle. Elle a été membre du projet de recherche « Todo Góngora » (Ministerio de Economía y Competitividad, FFI 2010-17349) et du groupe de recherche « Història de la Creació Literària » (Generalitat de Catalunya, SGR-427). Avant sa carrière universitaire, elle a été musicienne. En tant que claveciniste, elle s’est consacrée à la musique française de l’époque baroque et à la musique hispanique du Siècle d’Or, ce qui n’est pas sans incidence sur ses recherches sur la phonétique et la prosodie de la poésie.
- « Modos de leer a Góngora : el poeta y sus espejos. (El aliento gongorino en la andadura de Gimferrer) », Analecta Malacitana (sous presse).
- (Avec J. Mª Micó), « La invención poética en las décimas gongorinas », dans Góngora y el epigrama. Estudios sobre las décimas, éd. J. Matas, J. Mª Micó et J. Ponce Cárdenas, Madrid-Frankfurt, Universidad de Navarra-Iberoamericana-Vervuert, 2013, p. 243-260.
- « Sentido y referencia en algunas imágenes de las Soledades : del cincel al cristal de azogue », dans La Edad del Genio : España e Italia en tiempos de Góngora, éds. B. Capllonch, S. Pezzini, G. Poggi et J. Ponce Cárdenas, Pisa, Edizioni ETS, 2013, p. 149-162.
- (Avec J. Mª Micó), « Como un metal insomne en las entrañas de la tierra : latencias de Góngora en la lírica contemporánea », dans El Polifemo de Góngora : la vigencia de un clásico, numéro double spécial de la revue Ínsula, 781-782, janvier-février 2012, p. 38-41.
- (Avec J. Mª Micó), « El Poeta Soledad : crónica de un Simposio », dans El Poeta Soledad. Góngora 1609-1615, éd. B. López Bueno, Zaragoza, Prensas Universitarias de Zaragoza, 2011, p. 313-328.